Une rentrée calme en recadrant ses priorités...

On vient de reprendre et ça fuse déjà de contenus qui t'invitent à mettre les pleins gaz sur ton acquisition.

Alors aujourd'hui je vais te proposer autre chose... de la prise de hauteur stratégique.

Parce que ce que tu veux cette année, c'est PAS plus de clients... mais plus de revenus.
Et c'est pas du tout la même réflexion.

On démarre sans courir comme un poulet sans tête stp :)

Et si on vendait moins, mais mieux ?

Si tu es solopreneur, tu connais peut-être cette sensation à l'effet "hamster dans la roue", qui consiste dire oui à toutes les opportunités entrantes...

Pour faire tourner le business.

Tu acceptes une petite mission, puis une autre, et tu finis la semaine épuisé, sans réelle vision.

C'est tout à fait normal de le faire en année 1, puisqu'il faut bien commencer quelque part.

Mais continuer à le faire 2 ans, 3 ans, 4 ans, finit par créer une inertie totale et bloquer toute progression.

C’est exactement le piège dans lequel Alexandrina Nogueira De Sousa était tombée.

Elle remplissait son agenda, mais son activité ressemblait plus à une liste de tâches qu’à un business structuré.

Dans le nouvel épisode du podcast Zen Factory, on a décortiqué son choix courageux : supprimer les petites prestations et poser un ticket d’entrée à 750 € par mois.

Une décision qui a transformé sa rentabilité… mais aussi son quotidien.

Écouter l'épisode

1) La fausse sécurité des petites missions

Quand tu commences, il est urgent de faire du cash.
Tu veux valider tes compétences, signer vite, remplir tes journées.
Le problème ? Ces petites missions, à répétition, t’empêchent d’avancer quand elles durent trop longtemps.

Alexandrina a passé des années à remplir son agenda, mais... aussi à s’éparpiller et à diluer ses efforts en acquisition.
Et elle a fini par se retrouver avec deux cibles à gérer, sans synergie ni cohérence.

Résultat ?
Un business morcelé, une énergie dispersée, et une rentabilité fragile.

2) Dire non pour créer de la valeur

Dire non n’est pas facile.
Mais c’est souvent la seule façon de construire un business solide et durable.

Alexandrina a choisi de supprimer une de ses offres qui se vendait bien.

Pourquoi ?
Parce que ces produits attiraient une cible opportuniste, qui ne revenait pas.
Elle a préféré se concentrer sur les clients prêts à investir dans une transformation complète, via des packages structurés à partir de 750 € par mois.

Résultat ?
Une cible plus claire.
Des clients fidèles.
Et un chiffre d’affaires plus prévisible.

3) Le vrai rôle du « package »

Beaucoup pensent qu’un package est juste une « grosse offre » plus chère.
En réalité, c’est un levier stratégique.
Un package te permet de cadrer la relation, d’anticiper la charge, et d’installer une relation long terme.

Dans le cas d’Alexandrina, ça a permis :

D’augmenter son ticket minimum (et sa sérénité).
De ne plus dépendre d’un flux constant de petites ventes.
De se concentrer sur l’impact de chaque prestation, pas la quantité de produits à vendre.

La clarté avant tout

Ce que j’adore dans le parcours d’Alexandrina, c’est la clarté qu’elle a réussi à créer, pour elle et pour ses clients.

Elle n’a pas cherché à « scaler » à tout prix.
Elle a cherché à simplifier.
Et cette simplification a été le vrai moteur de sa croissance.

Si tu sens que tu dis trop souvent oui, que tu t’éparpilles, que tu t’épuises…
Peut-être que c’est le moment d’oser dire non.
Et de repenser la structure de ton offre.

Écouter l'épisode

💬 Ressources

Envie d’agir ?

Voici 3 étapes pour avancer (sans t’épuiser) comme Alexandrina :

Identifie toutes les micro-prestations que tu proposes encore « par habitude ».
Décide du ticket minimum qui te permettrait de respirer (et de vraiment servir tes clients).
Commence à préparer un package clair et complet qui incarne ta vraie valeur.